Chers Ami(e)s,

Vous partagerez avec nous la déception, la tristesse de Stéphanie RAMOS à la lecture de la réponse de Madame la Secrétaire d’État.

Bien sûr il y a la loi, une loi bien restrictive qui empêche toute reconnaissance posthume de faits d’armes et nous en prenons acte.

Avec foi et conviction nous avions répondu à l’appel de la famille de José Antonios RAMOS , à la lecture de la requête de sa petite fille Stéphanie et du dossier constitué par elle, nous avions acté la volonté des divers services de l’ONaCVG sollicités de faire aboutir cette demande.

Après avoir rencontré Madame MIRALLES, perçu son empathie et sa volonté de faire de l’année 2024 l’année phare du devoir de mémoire, je ne pouvais me douter qu’une nouvelle fois la loi allait freiner notre volonté de faire reconnaître ces vaillants soldats qui furent les libérateurs de la France

Il s’agissait d’un acte de reconnaissance et de réparation.

Il n’y avait aucun impact budgétaire, il n’y avait aucun impact monétaire, il y avait l’honneur et la fierté de cette famille de pouvoir saluer officiellement la mémoire de ce père, de ce grand-père.

Et puis , Madame RAMOS est enseignante, relisez l’appel lancé sur notre site et vous constaterez combien elle pouvait témoigner de l’engagement de l’État dans le devoir de mémoire……..

Ces lois, ces décrets qui entravent la reconnaissance et la réparation, qui empêchent même la moindre distinction, qui n’autorisent pas la mention de statut « mort pour la France » à titre honorifique, seront ils toujours pour FNAPOG le mur infranchissable qui se dresse devant notre volonté d’aboutir ?

Alors ce n’est pas la France tel que je l’ai entendu décliner dans le message délivré par notre Président de la République lors de sa conférence de presse.

Alors que croire……..qu’espérer……

Je tiens à remercier le secrétariat de Madame Mirallès qui a contribué à franchir les étapes permettant une réponse de la Ministre qui est à notre écoute.

Courrier de Madame Dormois à Madame La Secrétaire d’Etat Patricia Mirallès

La réponse

Article de madame Stéphanie Ramos

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Baptême du feu à Monte Cassino en 1944 ou le combat d’une petite fille pour son grand-père

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