Fédération Nationale Autonome des Pupilles de la Nation et Orphelins de guerre

Pour ne jamais oublier “Ami entends tu “

  La Résistance, au cœur du Devoir de Mémoire


Ami, entends tu ?

Ce sont les premiers mots du “Chant des partisans” écrit par Maurice Druon et Joseph Kessel en 1943.

Ami, entends-tu ?

C’est le nom d’un spectacle  et le nom de l’Association qui l’a mis sur pied!

Trois jeunes gens dont l’arrière petite fille du Général De Gaulle, inspirés par la lettre d’Henri FERTET, jeune résistant de 16 ans, fusillé à la citadelle de Besançon, héros dont la lettre d’adieu est un  écrit de notre” Patrimoine Historique”. Il témoigne de l’engagement de ces tous jeunes hommes, pour devenir de ” parfaits saboteurs” afin de ralentir la progression de l’ennemi, mais aussi leurs questionnements, leurs doutes, mais aussi de leur immense courage.

Cette pièce de théâtre a été écrite à l’occasion du 70 éme anniversaire de l’armistice de 1945, sous la Présidence de François Hollande le 8 mai 2015 dans la cour des Invalides.

En mars 2014, l’équipe d’Ami, entends-tu ? rencontre  Paul LIGIER, le dernier survivant du groupe Guy Mocquet,qui avec Marcel SIMON fonda ce groupe, dès juin 1940!

Inspirée par les lettres à leurs proches, par cette rencontre, la  pièce retrace les actions de ces jeunes,natifs d’un petit village du Doubs LARNOD. Ils possèdent la fibre patriotique, cette fibre en conduira 16 aux poteaux d’exécution et 6 en déportation sur les “23 poursuivis pour activité criminelle de “francs-tireurs”.Le plus jeune avait 15 ans et a pu être caché dans les fermes alentour, suite à une nuit d’hésitation des Allemands, considérant son jeune âge!

Grâce à Jean Marie Ligier, Président de l’Amicale à la mémoire du groupe Guy Mocquet ,à l’implication du Recteur d’Académie et des Elus de notre secteur, nous avons pu offrir ce spectacle en 2017 à Ornans. Ce fut Morteau le 6 mai 2019 puis Besançon le 20 mai.

 Pourquoi témoigner ?

 

 Honorer la  Mémoire de cette jeunesse résistante.

 Dire à nos Enfants, à nos Concitoyens et à nos Elus qu’ils doivent se souvenir.

Se souvenir de ces Pères, de ces Mères qui au sacrifice de leur vie, et quelque soit les circonstances de leur Mort, ont permis à notre Patrie de ne pas tomber sous le joug de l’ennemi, d’écrire fièrement le mot LIBERTE !

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