En définitive, les victimes des guerres sont mortes pour rien. Seulement, elles sont mortes pour nous.

Georges Clemenceau

Député, Homme d’état, Homme politique, Journaliste, Maire, Médecin, Ministre, Scientifique, Sénateur (1841 – 1929)

Qui mieux que lui pouvait reconnaître le drame vécu par les Pupilles et Orphelins de guerre, celui qui instaura le statut des Pupilles de la Nation en 1917, celui qui fit appel le premier au gain des jeux de hasard pour aider les veuves et les orphelins !

Mais pouvait il imaginer que 27 ans plus tard les conditions de vie ,de survie de ces victimes civiles fuyant les bombardements,  et dont on parle peu lors des discours officiels, de ceux qui ont survécus et qui portent dans leur chair les stigmates de leurs blessures, n’auraient pu obtenir reconnaissance et réparation ?

Ce récit confié par la Famille d’un de nos adhérents  vous parlera !

Le choc post traumatique est réel, mais à cette époque la Médecine ne s’y intéressait pas encore !

Désormais, la mention de Pupille de la Nation est attribuée pour les personnes présentes sur les lieux d’attentats pour stress post traumatique. L’espoir renaît dans nos rangs ! Qui plus que nous a droit à Reconnaissance et réparation ?

Nous pourrions intituler ce récit :

Le parcours du combattant d’une Veuve avec deux enfants en 1944 !

 

Aller au contenu principal